Les cinéastes amateurs stéphanois
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L'Abbé Grange : à Saint-Jean-Bonnefonds, un curé cinéaste et animateur de ciné-club …
Dans le cadre des activités paroissiales, l'abbé Grange filme la vie quotidienne des mineurs de Saint-Jean-Bonnefonds dans les années 1950.
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Antoine Faure, l'aventure de la Dolo ou un caméraman garagiste
Antoine Faure (1919-2007) était garagiste à Feurs sur la « Nationale 7 ». Membre du caméra club forézien, il filme de 1944 à 1965, avec une caméra Beaulieu, voyages, vacances, scènes de la vie familiale mais aussi la Libération de la ville, les festivités d'après-guerre de Chazelle-sur-Lyon ou de Saint-Galmier... Plus de trente films d'Antoine Faure sont déposés à la Cinémathèque.
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Henry Catonnet, une voix et un accent stéphanois inimitables
Henry Catonnet est l'un des plus gros contributeurs de la Cinémathèque. Plus de 100 films déposés en 16, 9.5 et 8 mm. Il a filmé les territoires et les évènements stéphanois pour le compte de la municipalité des années 50.
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Léon Dubreuil, la vie associative izieutaire
Originaire de la Terrasse-en-Dorlay, Léon Dubreuil (1912-1991) s'installe à Izieux dès 1918. Fort de son savoir-faire dans la tresse et le lacet, il est embauché dans l'usine de "soie artificielle d'Izieux", la CTA (Comptoir des Textiles Artificiels), aux usines Gillet. Léon Dubreuil, passionné de marqueterie, de trains électriques, de photographie, s'initie rapidement au cinéma amateur. Sa production de documentaires drôles, créatifs et d'une qualité technique indéniable, lui procurera plusieurs commandes officielles de la Mairie d'Izieux.